Les repas de Noël en famille, parfois cela n’en finit pas. Mais on peut aussi apprendre un ou deux trucs intéressants sur ses proches entre la poire et le fromage. L’un de mes cousins nous a rejoints au moment de déguster la bûche glacée. Il nous a confié qu’il faisait souvent des paris sportifs en ligne, plutôt avec succès. Nous en avons profité pour lui poser plein de questions.
Bien choisir son bookmaker en ligne
Avec le développement des paris en ligne, plus besoin de se rendre au bar PMU du coin pour s’adonner à cette activité, qui n’est d’ailleurs pas limitée aux seules courses hippiques. Aujourd’hui, les bookmakers proposent un large catalogue, même si certains sont spécialisés. Côté légalité, la première chose à faire avant d’ouvrir un compte chez un opérateur de paris est de s’assurer qu’il est autorisé à exercer en France par l’Autorité de régulation des jeux en ligne (ARJEL). Pour que l’on s’inscrive sur leur plate-forme, les bookmakers rivalisent de petites attentions. Ils offrent des bonus de bienvenue : premier pari remboursé, doublement du dépôt, mise à disposition jusqu’à 100 € – 150 €… Le joueur débutant est ainsi rassuré et peut se lancer sans trop craindre d’éventuelles pertes d’argent.
Les paris sportifs, ce n’est pas que pour les garçons
Même sans être une experte, on peut rapidement gagner de petites sommes si on s’informe un minimum sur les types de paris possibles et les sports concernés. Le foot est peut-être la meilleure porte d’entrée. Depuis la diffusion de la coupe du monde de football féminin en 2019 sur une grande chaîne de télévision et la plus grande médiatisation des compétitions féminines, les footballeuses sortent de l’ombre. Alors nous aussi les filles, on peut jouer, miser et gagner sans complexe ! Une bonne idée est peut-être de s’entraîner quelque temps sur des sites de pronostics gratuits pour apprendre le B.A.-BA des paris sportifs tout en gagnant quelques cadeaux.
Se familiariser avec l’univers des paris sportifs en ligne
Mon cousin m’a expliqué qu’il fallait savoir jouer sur les cotes. De celles-ci dépend le montant que l’on peut empocher en plaçant un pari. Par exemple, si on mise 10 € avec une cote de 3, le bénéfice sera de 10 x 3 = 30 €. Les bookmakers proposent différentes cotes sur un même match. Rien n’empêche d’avoir plusieurs comptes et de varier les mises. Plus la cote est élevée, plus on encaisse. Un underdog – une équipe ou un cheval qui a peu de chance de gagner – présente une cote très élevée… mais une faible probabilité de gain. Il vaut mieux avoir un bon tipster – un informateur – pour oser ce genre de coup stratégique !
En attendant de maîtriser le sujet, mon cousin a proposé de coacher la parieuse novice que je suis. Pour Noël prochain, le budget cadeau sera peut-être entièrement assuré par mes gains !